Maxence Astier (Restaurant Lore Ttipia - Auberge Ostapé, 64) : “ Mon pire souvenir ? Une courgette farcie qui termine par terre devant deux professionnels de la restauration”

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Maxence Astier (Restaurant Lore Ttipia – Auberge Ostapé, 64) : “ Mon pire souvenir ? Une courgette farcie qui termine par terre devant deux professionnels de la restauration”

15 octobre 2025

Maxence Astier (Restaurant Lore Ttipia – Auberge Ostapé, 64) : “ Mon pire souvenir ? Une courgette farcie qui termine par terre devant deux professionnels de la restauration”

Emmanuel Cadieu (Le cheval blanc, Paris 1er arr.) : « Je rêve d’aller manger chez Sukiyabashi Jirō »

3 octobre 2025

Directeur de la sommellerie du Cheval blanc Paris depuis cinq ans, Emmanuel Cadieu incarne une vision exigeante et passionnée du service et du vin. Curieux, habité par le goût du lien et du partage, il est toujours en quête d’harmonie. De l’Auberge du Pont d’Acigné à la consécration des trois étoiles Michelin à Plénitude, il cultive l’élégance de l’instant et l’amour du vin juste.

Un jour en salle chez Lucas Carton (Paris, 8e arr.)

1 octobre 2025

Face à l’église de la Madeleine, le restaurant Lucas Carton incarne depuis plus d’un siècle un certain raffinement parisien. Sous les boiseries Art nouveau de Louis Majorelle, classées monument historique, le service se déploie avec précision et discrétion.
La brigade de salle mène la danse. Chef de rang, commis et sommeliers y orchestrent les services comme une partition bien rodée. Dès l’ouverture, les tables sont dressées avec soin, les dernières consignes chuchotées lors du briefing entre deux salons, et la salle s’éveille doucement dans une ambiance feutrée.
Pour ce nouveau reportage « Un jour en salle », la photographe Emmanuelle Levesque a passé toute une journée aux côtés des équipes du service pour capter l’âme du Lucas Carton. Elle a saisi l’élégance des gestes, la concentration des équipes, et cette forme de grâce silencieuse qui fait du restaurant bien plus qu’un lieu de gastronomie : une maison vivante, humaine, et intemporelle.

Pauline Gachet, directrice de la restauration du Couvent des Minimes, 04) : « Ça existe un métier où l’on peut donner autant de plaisir, c’est fou et je veux le faire »

16 septembre 2025

Après des expériences marquantes au Relais Bernard Loiseau puis aux côtés du chef Arnaud Faye à l’Auberge du Jeu de Paume et à la Chèvre d’Or, Pauline Gachet a pris le poste de directrice de la restauration au Couvent des Minimes (Mane, 04). Très timide et réservée à ses débuts, elle a su prendre confiance et évoluer dans sa façon de diriger les équipes. Portrait.

Baptiste Latil (Contraste, 75008) : « Ma cliente coup de coeur ? Mylène Farmer, fabuleuse à servir, on ne s’ennuie pas avec elle ! »

5 septembre 2025

Baptiste Latil, directeur de salle depuis septembre 2024, incarne cette génération qui conjugue exigence, finesse et autodérision. Passé par les Alpes et bercé par les saveurs provençales de son enfance, il trouve aujourd’hui sa place dans une salle où le lien humain prime autant que le geste. Entre une anecdote de Megève, un souvenir de soupe de poisson, Baptiste nous partage avec sincérité sa vision du métier — celle où le service rejoint la haute couture. _ Lien vers le site du restaurant ContrasteCompte Instagram de Baptiste Latil _ Photographe | Emmanuelle LevesqueTexte | Emmanuelle Levesque Date de naissance 3 Février 1998 Fonction Directeur de salle Présent dans le restaurant depuis… Septembre 2024 _____ Votre meilleur souvenir en salle ? J’ai du mal à trouver

Mélanie Arnould(Arbane,51) : « Mon pire souvenir ? Un service où tous les clients sont repartis sans terminer leur repas »

1 septembre 2025

Depuis l’ouverture du restaurant Arbane à Reims, Mélanie Arnould veille avec rigueur et bienveillance au bon déroulement du service. Passionnée par son métier et toujours à l’écoute de ses équipes comme de ses clients, Mélanie, directrice de salle, partage avec nous quelques souvenirs, envies et confidences.

Louise Teinturier (directrice du restaurant Ardent, Paris 9e arr.) : « Ma passion est issue de ce contact permanent, de l’énergie que l’on donne et que l’on reçoit des clients »

23 juillet 2025

L’ex-étudiante en histoire des relations internationales ne pensait faire qu’une incartade de courte durée dans le monde de la restauration ; elle y fait désormais carrière. Derrière ce qui aurait pu être un simple petit boulot alimentaire, Louise Teinturier a découvert une passion guidée par l’adrénaline du service et de la relation humaine. Elle estime que derrière l’inévitable dimension ‘séduction’ de la salle, les métiers du service sont au coeur de l’expérience client.

Un jour en salle chez Daroco et Danico (Paris, 2e arr.)

7 juillet 2025

Installé dans les anciens ateliers de couture de Jean-Paul Gaultier, le lieu impressionne par ses volumes, son plafond-miroir et sa cuisine ouverte. Mais derrière ce décor théâtral, ce sont les serveurs, chefs de rang et runners qui orchestrent toute l’expérience. Du déjeuner d’affaires au dîner entre amis, le tempo est fluide, les attentions discrètes, mais constantes. Pour ce deuxième reportage « Un jour en salle », la photographe Emmanuelle Levesque a passé toute une journée aux côtés des équipes du service. Une pizza encore fumante, des pâtes maison dressées à la minute, un cocktail réalisé au fond de l’établissement chez Danico… Chaque plat arrive avec justesse, porté par une brigade de salle rompue à l’art de l’accueil.

Nathan Menou (Maison Quentin Pellestor Veyrier, 31) : « J’ai eu la malchance d’activer l’alarme incendie en plein service un samedi soir, en déclenchant l’alarme mais aussi les fumigènes »

3 juillet 2025

Depuis l’ouverture de la Maison Pellestor en février 2025, Nathan Menou signe la carte des vins du restaurant. Nourri par des rencontres marquantes, un attachement viscéral au terroir et une sensibilité olfactive presque intuitive, il partage ici ses souvenirs de salle, ses émotions de dégustation et sa vision d’un métier fait de transmission et de sensations. _ Lien vers le site de Maison Quentin Pelleter VeyrrierCompte Instagram de Nathan Menou _ Photographe | Emmanuelle LevesqueTexte | Emmanuelle Levesque Date de naissance 27 août 1991 Fonction Chef Sommelier Présent dans le restaurant depuis… Depuis la création du projet, et pleinement depuis notre ouverture le 4 février 2025 _____ Votre meilleur souvenir en salle ? Il y en a eu de nombreux, ce qui a fait de

Mohamed Djanffar (Vaisseau, Paris 11) : « Mon rêve, c’était de manger au restaurant Ultraviolet by Paul Pairet ».

26 juin 2025

De ses débuts aux côtés du chef Omar Dhiab à son admiration pour MC Solaar, Mohamed Djanffar nous raconte avec sensibilité et humour les petits et grands moments de sa vie en salle chez Vaisseau. _ Lien vers le site de VaisseauCompte Instagram de Mohamed Djanffar _ Photographe | Emmanuelle LevesqueTexte | Emmanuelle Levesque Date de naissance 9 avril 1995 Fonction Chef Sommelier Présent dans le restaurant depuis… Depuis l’ouverture le 6 décembre 2023 _____ Votre meilleur souvenir en salle ? Mon meilleur souvenir, c’est quand j’ai eu la chance de servir mon ancien chef Omar Dhiab (Paris 1er). J’ai été extrêmement touché qu’il vienne me voir dans mon nouveau poste. Votre pire souvenir en salle ?Pas de grosse galère jusqu’ici…. Mon pire souvenir, c’est

Vue de la salle | La salle doit-elle se mettre au parfum ?

Philippe Di Méo (parfumeur) : « J’aime l’idée du parfum de table car les odeurs peuvent ouvrir l’appétit »

30 mai 2025

Parfum et gastronomie, un couple évident ? Plutôt un duo à apprivoiser et à creuser selon le parfumeur Philippe Di Méo qui a à son actif plusieurs créations qui font le pont entre les deux univers. Bougie pomme d’amour, parfum inspirée d’une tarte au citron meringuée ou marmite aromatique, le génial Marseillais ne manque pas d’idées.

Jeanne Doré (rédactrice en chef de la revue Nez) : « Des odeurs naturelles ou considérées comme telles peuvent avoir leur place dans un restaurant »

21 mai 2025

Comme une sorte de règle absolue, le parfum brille par son absence dans la salle de restaurant. Pour Jeanne Doré, co-fondatrice et rédactrice en chef de la revue Nez, il y a pourtant des pistes à exploiter, en se tournant notamment vers des odeurs naturelles. Elle rappelle également que certains chefs ont déjà travaillé sur la question, à l’instar d’Akrame Benallal.

Isabelle Larignon, parfumeuse : « Il pourrait avoir une prise de parole pour présenter l’olfactif comme on le fait pour les autres sens »

17 mai 2025

Pour la parfumeuse Isabelle Larignon, les odeurs pourraient jouer à l’avenir un rôle bien plus important dans la salle du restaurant. D’une expérience en deux dimensions, elle ouvre la porte au repas en trois dimensions

Vue de la salle | Etre un sommelier moderne, ca veut dire quoi ?

Clément Delecluse, sommelier de Coup de Main (Lille) : « La modernité passe par la mise en valeur des nouveaux territoires du vin »

21 mai 2025

Cofondateur avec le chef Victor Berthe du restaurant Coup de Main (Lille), le sommelier Clément Delecluse, 30 ans, part du principe que le sommelier moderne, s’il doit connaitre le champ liquide bien au-delà du seul vin, est celui qui va savoir s’ouvrir aux nouvelles appellations pour valoriser les territoires et les nouveaux vignerons.

Sarah Roufi, sommelière chez Regain (Lyon, 69) : « Humilité, curiosité et écoute »

17 mai 2025

Cheffe sommelière depuis deux ans chez Regain (Lyon, 1er arr.), Sarah Roufi estime que l’humilité et l’écoute du client constituent deux éléments clés d’une sommellerie moderne. Et note que la féminisation croissante du métier et l’émergence des vigneronnes contribuent à l’évolution positive du métier.

Extime

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Claire Cames (Auberge de la forge, 31) : « Je me rappelle avoir servi un enfant de huit ans émerveillé par sa première expérience dans une table étoilée »

21 mai 2025

Louis Cozette (Moulin des Écrevisses, 80) : « J’ai passé ma soirée à observer le directeur de l’établissement, élégamment vêtu de son costume en train de mener ses équipes »

18 mai 2025

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Mathilde Bonnel (Cap Eden Roc, 06) : « J’aimerais accueillir Emma Watson, ambassadrice d’ONU Femmes »

Léa Mocrette (La Grenouillère, 62) : « Servir le chanteur Eddy de Pretto fut un grand moment personnel »

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Extime

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