
Dynamique, souriante et passionnée, Zoé Sacco incarne parfaitement l’esprit du service. Aujourd’hui chef de rang au Restaurant Rozo, elle a parcouru différents horizons de la restauration, y compris la cuisine, et met toute son énergie au service des clients avec une sincérité qui marque les esprits.
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Lien vers le site du restaurant Rozò
Compte Instagram de Zoé Sacco
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Photographe | Emmanuelle Levesque
Texte | Emmanuelle Levesque
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AQUACHIARA, partenaire de DSAT

Date de naissance
7 juillet 1977
Fonction
Responsable de salle
Présent dans l’entreprise depuis…
Septembre 2022
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Votre meilleur souvenir en salle ?
C’était lors de mon tout premier jour dans la restauration, dans la brasserie L’Amiral à Wasquehal, tenue par mon beau-père. J’y ai donné un coup de main en salle sans aucune expérience… et je suis ressortie en me disant : « Mais en fait, je suis faite pour ça ! » J’ai adoré. À 19 ans, j’ai alors quitté la faculté pour me lancer pleinement dans ce métier qui m’attirait déjà beaucoup, sans avoir osé franchir le pas après le bac. Ce jour-là a tout changé.
Votre pire souvenir en salle ?
Il y a environ six mois, je me suis trompée lors d’un encaissement en inversant deux numéros de table. J’ai encaissé un montant inférieur à l’addition. Heureusement, la directrice de salle a rapidement réglé la situation. Une belle frayeur, mais plus de peur que de mal !
Un vin coup de cœur à la carte du restaurant ?
Le Blanc “Riesling Elsassich is Bombich” :
un vin orange vibrant et savoureux de Christian Binner, élaboré en biodynamie à partir du cépage riesling.
Quel est votre premier souvenir de restaurant ?
Je n’avais pas fréquenté beaucoup de restaurants auparavant, ni gastronomiques ni autres. Mon premier repas gastronomique a été chez Rozo à Lille, il y a cinq ans.
Je me souviens encore du dessert aux agrumes de Camille Pailleau, très marqué par le pamplemousse et l’amertume : incroyable. Cela m’a donné envie de postuler chez eux en cuisine — j’ai un BTS cuisine — mais il n’y avait pas de poste disponible. Quelques années plus tard, en 2022, j’ai finalement rejoint l’équipe… en salle.
Où rêvez-vous d’être servi à table ?
Chez Pierre Gagnaire, à Paris.
Quel plat commandez-vous toujours quand il est à la carte ?
Un steak-frites, accompagné d’une sauce échalote.
Quel(le) client(e) rêveriez-vous d’accueillir dans votre restaurant ?
Mes deux grands-mères.
L’une vit près de Toulon et ne se déplace presque jamais ; l’autre ne peut malheureusement plus voyager. Je sais qu’elles seraient très fières de me voir évoluer dans cet univers.
Avez-vous déjà eu un coup de cœur pour un client ou une cliente ?
Oui, un groupe de trois messieurs — un trouple, je crois — qui vient régulièrement de Troyes.
Nous avons créé un vrai lien : ils prennent de mes nouvelles à chaque visite, autant personnelles que professionnelles, et nous nous retrouvons tous les trois mois avec plaisir. Quand je vois leur nom sur le cahier de réservations, je sais déjà que je vais passer un bon moment.
Quel autre métier auriez-vous aimé faire ?
Institutrice.
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